Un programme d'activité mutualisé

Dans le cadre du nouveau mandat et des engagements du Projet d'Agence 2021-2026, les membres de l’Agence, à travers leur représentation politique, ont fait des choix forts et inédits : ils ont décidé de doter leur outil mutualisé de nouvelles forces d’observation, de réflexion et de prospective, au bénéfice de tous et dans une logique interterritoriale, assorties des moyens financiers ad hoc.

Élaboré avec et porté par les élus, le projet d’Agence définit les grandes lignes stratégiques du déploiement de l’association au service de ses membres. Avec deux évolutions fortes par rapport au précédent mandat : la redéfinition du process d’élaboration du programme partenarial et surtout, la refonte du socle partenarial. Dans un contexte complexe à maints égards, c’est la traduction d’une ambition renforcée de coopération et de montée en puissance de l’intelligence collective à l’échelle de l’aire grenobloise.
À mi-mandat, un cap est franchi.

Le socle partenarial est véritablement l’ADN de l’Agence, et le grand pari de ce mandat. Espace de projets communs au cœur du programme partenarial, il est la traduction concrète de la volonté des membres de l’Agence de renforcer sa capacité à prendre de la hauteur pour les aider à aborder les enjeux et défis de l’avenir. L’accent est ainsi mis sur l’observation, la prospective et la mise en œuvre du ZAN avec un nombre de jours conséquents dédiés à ces sujets, lancés en 2022, testés en 2023 et reconduits en 2024 :

• « Modes de vie : observer pour mieux comprendre », observer les tendances et évolutions de la société, une boussole indispensable pour constater, décrypter, comprendre, débattre et in fine, décider ;
• « Parlon’ZAN », un centre de ressources pour se former et s’informer, pour dialoguer et partager, sur l’objectif zéro artificialisation nette 2020 ;
• « L’Atelier des Futurs », une plateforme des prospectives et des stratégies de la région grenobloise, avec un grand projet : le rapport annuel sur les risques et la résilience, le « RARRe », pour construire et alimenter une représentation partagée et éclairée des risques et vulnérabilités systémiques dans notre région (sur le modèle de Davos), ainsi que des ressources à mobiliser pour les anticiper.